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dc.date.accessioned2013-09-12T10:26:51Z
dc.date.available2013-09-12T10:26:51Z
dc.date.issued2013en_US
dc.date.submitted2013-05-12en_US
dc.identifier.citationSolheim, Gunnel Anita. Une étude contrastive du pronom dont en français . Masteroppgave, University of Oslo, 2013en_US
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10852/37062
dc.description.abstractFransk Sammendrag. Ce mémoire est à la fois une présentation du pronom relatif dont en français et une étude contrastive français – norvégien basée sur des exemples authentiques tirés du corpus parallèle Oslo Multilingual Corpus (OMC). En norvégien, il n’existe pas d’équivalent exact du pronom dont, ce qui rend l’aspect contrastif intéressant. Dans son article Relativisation et linguistique contrastive, Helland a montré « qu’il existe des différences essentielles entre le français et le norvégien au niveau de la relativisation » (Helland, 2002, p. 413). C’est cette étude qui m’a inspirée et qui a fourni le point de départ de ma recherche. Helland a étudié des exemples de dont dans le corpus français – norvégien d’OMC et il a isolé certaines contraintes structurales liées à l’utilisation de dont et les effets de ces contraintes sur la traduction en norvégien. Mon corpus se compose aussi bien de textes français originaux que de textes français traduits du norvégien, 900 extraits au total. Dans cette étude contrastive, j’ai examiné les divergences entre dont et les correspondances en norvégien. Comme Helland, j’ai trouvé une de différences entre français et norvégien liée à des contraintes d’ordre structural (la condition du sujet phrastique). En norvégien le complément du nom d’un GN sujet ne peut pas être relativisé, contrairement à dont, qui peut être complément d’un GN sujet de la relative. D’autres différences sont liées à des constructions à préposition orpheline, très fréquentes en norvégien, mais presque inexistantes en français, et aux indications de quantité. J’ai examiné et catégorisé les fréquences des correspondances norvégiennes de dont et j’ai comparé les deux corpus, textes originaux français et textes originaux norvégiens. Il n’y a pas de différences significatives entre les deux corpus, sauf que dont complément du verbe est plus fréquent dans les textes traduits en français que dans les textes originaux français. Dans les textes originaux français par contre, dont complément du sujet est la plus grande catégorie. En plus, la correspondance norvégienne hvis pour dont complément du sujet est plus fréquente dans les textes traduits en français que dans les textes originaux norvégiens.nor
dc.language.isofraen_US
dc.titleUne étude contrastive du pronom dont en françaisen_US
dc.typeMaster thesisen_US
dc.date.updated2013-09-09en_US
dc.creator.authorSolheim, Gunnel Anitaen_US
dc.subject.nsiVDP::024en_US
dc.identifier.bibliographiccitationinfo:ofi/fmt:kev:mtx:ctx&ctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:dissertation&rft.au=Solheim, Gunnel Anita&rft.title=Une étude contrastive du pronom dont en français &rft.inst=University of Oslo&rft.date=2013&rft.degree=Masteroppgaveen_US
dc.identifier.urnURN:NBN:no-38151
dc.type.documentMasteroppgaveen_US
dc.identifier.duo180317en_US
dc.contributor.supervisorMarianne Hobæk Haffen_US
dc.identifier.fulltextFulltext https://www.duo.uio.no/bitstream/handle/10852/37062/2/Solheim-Master.pdf


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